
La saturation m'étouffe, je n'en voit pas le bout, cet air revient, recyclé, mais reste le fidèle de ses germes nécrosants. Les anti-corps vont-ils enfin se fortifier, prendre le pouvoir et abattre cette monarchie noire, sur cette étendue de sable, qui ne demande qu'à être réchauffée. Le sable est seul et se couvre, le gris s'étend sur ces colonnes de respirations.Pourquoi elle s'entraine à voir, à percevoir, sur ce mur ; il n'y a rien de joli, rien qui ne croustille sous ses dents amères. Tout a déjà flétrit, vite ; rassis, à peine...
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